Scandales ELECAM : M. Maurice Kamto, où sont les preuves ?
Chers frères et sœurs,
Salutations à vous et bénédictions de Dieu ce week-end. Nous espérons que nos frères et sœurs musulmans ont eu une fête bénie, l’Aïd Moubarak.
Nous revenons sur les problèmes d’ELECAM en relation avec une récente lettre critique de M. Maurice. Nous sommes en général d’accord avec les accusations portées contre ELECAM, mais l’opposition doit faire davantage pour étayer ses affirmations et également se concentrer sur les pressions stratégiques susceptibles d’améliorer la situation. Nous terminons par un commentaire sur le chaos dans nos sports et dans le RDPC.
1. Scandales ELECAM : besoin de preuves
Nous savons tous qu’ELECAM et le RDPC sont unis pour refuser aux Camerounais le véritable exercice de leur souveraineté populaire en matière électorale. Pour les faire changer, nous devons être précis dans nos accusations et quantifier nos estimations de leur fraude. Les statistiques et les témoignages personnels sont plus éloquents que les généralisations.
1.1. Grâce à la subversion des instruments de l’État par le RDPC, l’accès réduit aux actes de naissance, aux cartes d’identité et aux centres d’inscription des électeurs se traduit par une suppression effective de l’inscription des électeurs.
1.2. M. Kamto a raison d’affirmer que de nombreux responsables d’ELECAM sont des militants actuels ou récents du RDPC. Nous avons besoin de leurs noms et nous devons leur demander de se retirer. En fait, il ne faut pas faire confiance à tous les responsables des élections de 2018 et 2020 pour les prochaines élections. Les partis ont le droit de dénoncer ces pratiques qui érodent la confiance et d’appeler à des changements.
1.3. Sur le refus d’ELECAM de publier la liste électorale, M. Kamto a raison. Cette question a déjà été soulevée par M. Abdourahman Baba. Les journalistes ne considèrent pas cela comme une violation grave. Nous devons nous concentrer là-dessus. La raison pour laquelle ELECAM n’est pas disposé à publier cette liste est en partie due à sa tradition de mélanger les listes électorales dans les zones d’opposition pour réduire la participation électorale. Nous devons accroître la transparence des listes électorales en insistant pour que cette liste soit publiée. Les partis politiques ont le droit de continuer à poursuivre ELECAM en justice. Le fait que ces tribunaux ne puissent pas agir ne signifie pas que l’augmentation de l’ampleur du problème ne puisse pas frustrer les efforts du gouvernement en matière de nouveaux prêts. Les prêteurs considèrent les systèmes électoraux défectueux comme des risques élevés, surtout si le potentiel d’une réaction significative de l’opposition est démontré.
1.4. Le point critique sur lequel M. Kamto ne parvient pas à fournir de preuves est le nombre d’électeurs inscrits entre janvier et mars 2024. ELECAM a déclaré que les nouveaux électeurs s’élevaient à 144 817. Il semble certainement que ce nombre soit faible. Mais nous n’avons aucune référence. Le CRM/MRC peut-il nous fournir une estimation du nombre d’électeurs inscrits à la suite de leur propre campagne ? Ce n’est qu’en publiant des données aussi partielles que l’extrapolation à l’ensemble de la nation pourra être utilisée pour remettre en question ELECAM.
1.5. L’estimation du nombre d’électeurs nouvellement inscrits n’est pas la seule preuve pouvant être opposée à la manipulation d’ELECAM. D’autres astuces ont été rapportées :
1.5.1. Il arrive que des responsables d’ELECAM invités à accompagner les campagnes d’inscription des électeurs arrivent en retard. De plus, ils insistent pour partir plus tôt, même s’il reste encore des personnes à inscrire. Il arrive parfois que ces responsables se plaignent d’un dysfonctionnement de l’équipement ou de l’indisponibilité d’autres fonctionnaires.
1.5.2. On sait et on peut en témoigner que certaines personnes attendent plus d’un an avant que leur carte d’électeur ne leur soit délivrée après leur inscription. L’inscription ne suffit pas ; avoir la carte en main est important. Les partis d’opposition peuvent fournir des preuves de l’ampleur de ce problème.
1.5.3. De nombreux Camerounais qui ont déménagé dans de nouvelles villes et régions ont extrêmement du mal à mettre à jour leur nouvelle circonscription. Des hommes politiques attentifs devraient être capables d’évaluer quantitativement l’ampleur du problème. Les partis devraient disposer de numéros de contact auxquels les compatriotes frustrés qui ont du mal à s’inscrire, à obtenir leur carte d’électeur ou à mettre à jour leur circonscription, peuvent appeler et demander de l’aide. Cette situation affecte de manière disproportionnée les anglophones déplacés par le conflit armé.
1.5.4. Les partis d’opposition devraient être en mesure de déterminer si ELECAM emploie suffisamment de travailleurs et les forme régulièrement. C’est ainsi que fonctionnent les organes électoraux. Ils sont occupés à former le nouveau personnel. Nous ne savons pas quand le nouveau personnel sera recruté et cela semble être dû au fait qu’un canal est établi entre le RDPC et ELECAM.
1.6. Le site Internet d’ELECAM est une honte et un échec total. Les partis d’opposition devraient examiner cet échec. Les sites Internet des commissions électorales en Afrique sont conçus pour informer les électeurs. Le site Internet d’ELECAM est mal conçu et ses informations sont à caractère bureaucratique. L’électeur n’est pas au centre de l’attention.
Beaucoup de gens suggèrent que la population du Cameroun est comparable à celle du Ghana, même si en réalité, le Cameroun a une population plus petite. La population du Ghana est estimée à 33 millions d’habitants. Sur le site Internet de leur commission électorale, on peut clairement lire que le Ghana compte aujourd’hui environ 17 millions d’électeurs, 33 367 bureaux de vote et 27 partis politiques enregistrés. Les élections présidentielles du pays sont désormais largement binaires : un affrontement entre le NPP et le NDC. Bien que la prochaine élection présidentielle ait lieu en décembre 2024, nous connaissons déjà les candidats du parti, l’ancien président John Mahama de retour comme candidat du NDC et l’actuel vice-président, Mahamudu Bawumia, comme candidat du NPP.
Si nous nous arrêtons simplement au nombre d’électeurs inscrits au Ghana, 17 millions, et comparons avec nos chiffres catastrophiques d’ELECAM de 7,3 millions, nous voyons le problème de notre pays bien-aimé. L’âge minimum pour voter au Ghana, comme dans la plupart des pays africains, est de 18 ans. Au Cameroun, le régime a peur des jeunes électeurs, d’où 20 ans minimum.
Si l’on prend la population du Cameroun à 27 millions d’habitants et que l’âge médian au Cameroun est d’environ 18 ans (la moitié de la population a moins de 18 ans), alors nous pouvons conclure que nous avons environ 12 millions d’électeurs éligibles.
L’âge médian au Ghana est d’environ 20 ans. Cela explique pourquoi leur nombre d’électeurs inscrits est de 17 millions, soit plus de la moitié d’une population de 33 millions d’habitants. Cela signifie que dans un pays qui fonctionne correctement, le numéro d’inscription des électeurs est une bonne estimation de la population. Le Cameroun doit expliquer pourquoi ses électeurs inscrits sont très loin de représenter environ 50 % de l’estimation de la population utilisée pour les analyses économiques et de crédit.
Pour que les élections jouent leur rôle démocratique constitutionnel, nous devons d’abord comprendre pourquoi les électeurs inscrits au Cameroun sont loin de représenter près de 50 % de la population estimée. C’est la première bataille de l’opposition. Il faut le combattre avec des preuves et des analyses quantitatives. Pour commencer, nous avons besoin de la publication de la liste des électeurs.
2. La distraction est notre spécialisation
Nous, Camerounais, ne parvenons pas à accomplir de grandes choses ou à changer notre situation en nous spécialisant dans la distraction.
2.1. Eto’o contre Ministre des sports : On arrive à mal interpréter l’échec du système des hautes instructions et de l’Etat unitaire. Nous en avons fait une bataille entre deux Camerounais en aval d’un État hypercentralisé qui édicte des lois contradictoires et les écrase de hautes instructions. Réveillez-vous et concentrez-vous sur la source du problème : M. Paul Biya et son obsession pour l’État unitaire.
2.2. Le football comme distraction : Le football n’est qu’un des nombreux sports pratiqués par les Camerounais. De nouveaux types de sports sont créés chaque année. Dans un pays qui fonctionne bien, ces organisations fonctionnent sans problème même si elles reçoivent des subventions de l’État. Les citoyens ne viennent que pour applaudir et apprécier la performance de leur compatriote. Au Cameroun, les hommes politiques ont découvert que le football est une bonne manière de nous distraire de nos malheurs politiques. C’est pourquoi nous avons tellement concentré notre attention sur le football que l’équipe camerounaise de handball a été disqualifiée faute de dispositions logistiques de base. Dans un pays libre doté de véritables unités fédérées d’associations civiles, nous ne devrions pas entendre parler d’un tel embarras pour notre pays bien-aimé.
2.3 : Les artistes camerounais pourraient faire davantage pour la campagne d’inscription des électeurs : Nous remercions notre frère, Ben Decca le musicien, qui a récemment publié un message sur les réseaux sociaux encourageant les gens à s’inscrire sur les listes électorales. C’est la chose la plus non partisane que les citoyens de tous les horizons devraient faire. Nous appelons les autres artistes à servir leur pays en encourageant les devoirs civiques fondamentaux.
Que Dieu vous bénisse, lecteur, et que Dieu bénisse notre pays bien-aimé, le Cameroun, alors que nous luttons pour le libérer grâce à une gouvernance correctement fédérée et à un régime constitutionnel.
—————–English version—————–
ELECAM scandals: Mr. Maurice Kamto, where is the proof?
Dear brothers and sisters,
Greetings to you and God’s blessings this weekend. We hope that our Muslim brothers and sisters had a blessed feast, Eid Mubarak.
We return to the problems of ELECAM in relation to a recent critical letter by Mr. Maurice. We agree in general with the charges against ELECAM but the opposition needs to do more to substantiate the claims and also focus on strategic pressure that can improve the situation. We end with a comment on the chaos in our sports and the CPDM.
1. ELECAM scandals: need for proofs
We all know that ELECAM and the CPDM are united in denying Cameroonians the true exercise of their popular sovereignty in matters of elections. To get them to change, we must be specific in our charges and quantify our estimates of their fraud. Statistics and personal testimonies speak louder than generalizations.
1.1. Through subversion of the instruments of the state by the CPDM, the reduced access to birth certificates, identity cards, and voter registration centers, translate into effective suppression of voter registration.
1.2. Mr. Kamto is right to assert that many of ELECAM officials are current or recent CPDM militants. We need their names and we need to ask them to step down. In fact, all those in charge of the 2018 and 2020 elections should not be trusted with the next elections. Parties have the right to point out these confidence-eroding practices and call for changes.
1.3. On the refusal of ELECAM to publish the list of voters, Mr. Kamto is correct. This issue has been raised by Mr. Abdourahman Baba before. Journalists don’t treat it as a serious violation. We need to focus on this. The reason ELECAM is unwilling to publish this list is partly because of their tradition of mixing up voter lists in opposition areas to suppress voter turnout. We need to increase transparency in the voter register by insisting that this list be published. Political parties are in their right to continue to take ELECAM to court. That these courts may not act does not mean that raising the magnitude of the problem cannot frustrate the efforts of the government in the area of new loans. Lenders treat flawed electoral systems as high risks, especially if the potential of significant push back by the opposition is demonstrated.
1.4. The critical point where Mr. Kamto fails to provide evidence is the number of registered voters in the period of January to March 2024. ELECAM stated that new voters totaled 144 817. It certainly seems that this number is small. But we have no reference. Can CRM/MRC provide us with an estimate of the number of voters registered as a result of their own campaign? Only by publishing such partial data can extrapolation to the whole nation be used to question ELECAM.
1.5. An estimate of the number of newly registered voters is not the only evidence that can be brought against ELECAM’s manipulation. Other tricks have been reported:
1.5.1. ELECAM officials invited to accompany voter registration campaigns have been known to arrive late. Further, they insist on leaving early even when there are still people to be registered. At times, such officials are known to have complained of malfunctioning equipment or other officials not being available.
1.5.2. It is known and can be testified that some people wait more than one year for their voter’s card to be issued after registration. Registration is not enough; having the card in hand is important. Opposition parties can produce evidence of the scale of this problem.
1.5.3. Many Cameroonians who have moved to new cities and regions find it extremely hard to update their new constituency. Attentive politicians should be able to quantitatively assess the scale of the problem. Parties should have contact numbers where frustrated compatriots struggling to register, obtain their voter’s card, or update their constituency, can call and seek support. This situation disproportionately affects anglophones displaced by the armed conflict.
1.5.4. Opposition parties should be able to establish if ELECAM is employing enough workers and training them regularly. This is how election bodies operate. They are busy with training new staff. We do not know when new staff are recruited and this seems to be because a conduit is established between the CPDM and ELECAM.
1.6. ELECAM’s website is a total disgrace and failure. Opposition parties should scrutinize this failure. The websites of electoral commissions in Africa are designed to inform voters. ELECAM’s website is poorly designed and its information is bureaucratically oriented. The voter is not the focus.
Many people suggest that the population of Cameroon is comparable with that of Ghana, though in reality, Cameroon has a smaller population. Ghana’s population is estimated at 33 million. On the website of their electoral commission, one can clearly read that Ghana today has about 17 million voters, 33367 polling stations, and 27 registered political parties. The country’s presidential elections are now largely binary – a clash between NPP and NDC. Although the next presidential election is in December 2024, we already know the party nominees, former President John Mahama returning as NDC candidate, and current Vice President, Mahamudu Bawumia, as candidate of NPP.
If we just stop at the number of registered voters in Ghana, 17 million, and compare with our abysmal ELECAM numbers of 7.3 million, we see the problem with our beloved country. The minimum voting age in Ghana, like in most African countries, is 18 years old. In Cameroon, the regime is afraid of young voters, hence 20 years minimum.
If we take Cameroon’s population to be 27 million, and consider that the median age in Cameroon is about 18 years (half of the population is lower than 18 years of age), then we can conclude that we have about 12 million eligible voters.
The median age in Ghana is about 20 years. That explains why their number of registered voters is 17 million, more than half of the population of 33 million. This means that in a properly functioning country, the voter registration number is a good estimate of the population. Cameroon must explain why its registered voters are very far away from being about 50% of the population estimate used for economic and loan analyses.
For elections to play their proper constitutional democratic role, we must first get to the bottom of why Cameroon’s registered voters are far from being close to 50% of the estimated population. This is the first battle for the opposition. It must be fought with evidence and quantitative analysis. We need the list of voters published as a start.
2. Distraction is our specialization
We, Cameroonians, fail to accomplish great things or change our situation by specializing in distraction.
2.1. Eto’o vs. Minister of sports: We manage to misinterpret the failure of the system of hautes instructions and the unitary state. We have made it into a battle between two Cameroonias who are downstream of a hypercentralized state that issues contradictory laws and overwrites them with hautes instructions. Wake up and focus on the source of the problem: Mr. Paul Biya and his obsession with the unitary state.
2.2. Football as distraction: Football is only one of many sports that Cameroonians compete in. New types of sports are created each year. In a properly functioning country, these organizations function smoothly even if they receive state subventions. Citizens only come out to cheer and enjoy the performance of their compatriot. In Cameroon, politicians discovered that football is a good distraction from our political woes. That is why we have been so focused on football that Cameroon’s handball team was disqualified for lack of basic logistic arrangements. In a free country with proper federated units of civil associations, we should not hear about such embarrassment of our beloved country.
2.3: Cameroon artists could be doing more for voter registration campaign: We thank our brother, Ben Decca the musician, who recently made a social media post encouraging people to register to vote. This is the most non-partisan thing citizens of all walks of life should be doing. We call on other artists to serve their country by encouraging basic civic duties.
May God bless you, the reader, and may God bless our beloved country Cameroon as we fight to liberate it through properly federated governance and constitutional rule.
English Cameroon for a united Cameroon
April 12, 2024
Le mouvement Hip Hop Self Défense Africa on en parle
PRESENTATION DE « HIP-HOP SELF DEFENSE AFRICA » HHSDA
1. NAISSANCE
La création de la plateforme Hip-Hop Self Defense Africa (HHSDA) est une idée venue du Rappeur Sénégalais Ibrahima Keita, plus connu sous le nom de « Shaka Bab’s ». Présent sur la scène Hip-Hop depuis ses débuts, le rappeur a constaté que le Hip-Hop, de nos jours, commence à perdre son essence et sa raison d’exister. Les messages ne sont plus présents dans les chansons et son rôle de régulateur sociopolitique tend à disparaître. Fort de ces constats et nostalgique de l’époque où le Hip-Hop servait à rassembler les jeunes du monde entier et participait au développement et à l’union des peuples, Shaka Bab’s décide de mettre sur pied une plateforme qui, réunissant la quintessence des rappeurs africains, servirait à calmer les conflits internes, à briser les frontières, à réunir les peuples et à résoudre les problèmes qui gangrènent le continent africain via le Hip-Hop. Créée en Mai 2023, la Plateforme HHSDA a une réponse positive au
niveau de la jeunesse africaine. Des bureaux ont vu le jour dans au moins 12 pays et des discussions se passent régulièrement via WhatsApp parlant des obstacles du développement de l’Afrique.
2. CONTEXTE ET JUSTIFICATION
Les peuples d’Afrique souffrent de famine, de maladies, de guerres tribales et des milliers périssent dans l’océan en essayant de rejoindre l’Occident. Pourtant le continent africain a une population très jeune, des ressources naturelles et minières intarissables et un climat clément toute l’année. De fait, si nous possédons toutes ces richesses et que nous échouons à nous développer, c’est que nous n’avons pas un bon leadership : des gens capables de fédérer ces forces et d’en faire un levier de développement. Si, en effet, nos dirigeants ne sont pas parvenus à obtenir de tels résultats, la musique, elle, peut réussir à le faire. C’est pour cela que HHSD Africa propose l’Unité africaine par le biais du Hip-Hop qui lui n’a ni race, ni couleur, ni religion, ni appartenance ethnique ou politique. De cette union, naîtra l’Amour entre frères et sœurs africains, la disparition des frontières imaginaires et la restauration de la paix dans tous les coins et recoins du continent. Et de cela résulte le développement que nous tentons d’atteindre depuis des siècles. Le seul moyen de sauver ce continent, c’est de redonner la parole aux peuples, unir l’Afrique et en faire un peuple indivisible.
3. OBJECTIF GENERAL
La plateforme Hip-Hop Self Defense Africa (HHSDA) a pour objectif général la promotion de l’Unité africaine via la culture, en particulier le Hip-Hop.
4. OBJECTIFS SPECIFIQUES
De façon spécifique cet objectif général a permis d’œuvrer pour ✓ la reconnaissance du Hip-Hop panafricain comme patrimoine culturel universel pour l’Union Africaine
✓ l’Unité Africaine ✓ le développement économique
5. RESULTATS ATTENDUS
A l’atteinte des objectifs ci-dessus, les résultats suivants sont attendus ✓ Partenariat HHSDA/ Union Africaine (UA) qui est un fond des cultures urbaines pour son développement dans tous les pays africains
✓ Constructions de salles de formation équipées sur les outils numériques dans tous les pays africains
✓ Organisation d’un festival annuel de 72 heures 6. MOYENS HUMAINS
On ne peut pas rendre effectif ces résultats sans la population.
L’Afrique a un capital humain jeune, riche en culture et diversifiée mais nous sommes désunis, mus par des intérêts politiques et surtout personnels. Nous savons tous que l’UNION fait la force. Et des milliers de jeunes africains s’identifient au Hip-Hop et se considèrent comme des frères et des sœurs. Pourtant, ils ne parlent pas la même langue mais utilisent le même langage. S’ils décident de parler d’une même voix, de briser les frontières à travers leur musique, ils y parviendront sans difficulté. Et avec la prolifération des réseaux sociaux, leurs voix peuvent être mieux entendues et en temps réel. Les rappeurs ont une audience incommensurable parce que suivis par des milliers de jeunes. Notre première ressource et non négligeable, reste la jeunesse africaine.
7. MOYENS FINANCIERS
On sait que l’argent est le nerf de la guerre ; rien ne peut s’accomplir sans lui. Notre première source de revenu est la cotisation mensuelle de chaque membre de HHSD/Africa. Nous cherchons également des moyens financiers par – des productions d’albums que nous mettrons à la disposition des peuples via nos comptes dans les réseaux sociaux, – des organisations de concerts et des collectes de fonds.
Nous envisageons également demander l’appui des bonnes volontés, des ONG, des représentations diplomatiques et de tout leader ou dirigeant africain désireux de voir le continent voler de ses propres ailes.
8. ACTIONS REALISEES
De sa création en mai 2023 à nos jours, HHSDA a accompli les tâches suivantes : ✓ le 19 Août sortie de la compilation « Brisons les Frontières » suivie de séance d’écoute et de point de presse au Centre régional Blaise Senghor
✓ le 6 Octobre deuxième séance d’écoute de la compilation suivie de point de presse au Centre G Hip–Hop de Guédiawaye
✓ le 10 Décembre une troisième séance d’écoute de la compilation suivie de point de presse au Jah Live en Côte d’Ivoire
✓ et aujourd’hui 29 Décembre Première Conférence Internationale Hip-Hop sous le thème « Panafricanisme Culturel » à la Maison des Cultures Urbaines de Ouakam, Dakar Sénégal
Le Président Ibrahima KEITA (Shaka Babs)
Greenery in black&white.
🚨🚨 CONCOURS DE SLAM EN EQUIPE
I- REGLEMENT DU CONCOURS « JE PENSE LES MOTS QUI PANSENT LES MAUX »
Article 1 : Objet du concours
Le collectif LES voyous DES voyelles lance le concours de slam “Je pense les mots qui pansent les maux”. Ce concours est ouvert aux résidents camerounais sans distinction et vise à utiliser la parole comme un moyen d’expression accessible à tous, en abordant des dérives et en défendant des causes sociales. Ce concours ressuscitera le rôle premier d’un artiste : divertir tout en instruisant. Le slam redeviendra ainsi cet outil qui verbalise nos ressentis, un outil de développement social et de conscientisation. Enfin, le concours permettra à ces paroliers de montrer la « voie avec leur voix » et d’être la « voix/e des sans voix/es ».
Article 2 : Candidature
La participation à ce concours est gratuite et se tient en groupe de deux (02) minimum. Chaque groupe enverra une vidéo de sélection d’une durée de trente secondes à l’adresse : voyoudesvoyelles@gmail.com
Article 3 : Thèmes du concours et modalités
Les textes seront écrits sous les thèmes :
Lire des livres, delivre !
A quand la fin de la faim ?
Les textes seront performés par des groupes de deux (02) minimum, en français ou en anglais, dans le respect des libertés et des droits de l’homme. Il doit être original et inédit. Toute uvre jugée irrespectueuse, amorale, raciste conduira à l’élimination du groupe de candidats.
Article 4 : Propriété intellectuelle
En cas de constat avéré de plagiat d’uvre ou de partie d’une uvre existante, les candidat(e)s seront immédiatement éliminé(e)s du concours. Les candidat(e)s subissent seul(e)s les conséquences juridiques des actions de plagiat dont ils / elles seront éventuellement responsables en cas de publication de leurs textes.
Article 5 : Déroulé du concours
Les candidats produiront deux textes, chacun respectant un thème. Chaque groupe aura droit à deux passages. L’addition des notes des deux passages permettront au jury de choisir les lauréats.
Article 6 : Critères de notation
les candidats seront jugés sur :
a) la pertinence des textes ;
b) la complicité entre les membres du groupe ;
c) la présence scénique ;
d) le rythme, la diction, la créativité.
Article 7 : Avantage du concours
Ce concours est aussi une plateforme de visibilité pour les candidats. Les vidéos de candidature seront publiées sur les différentes plateformes de LES voyous DES voyelles et de ses partenaires, pour appréciation par le public, sans incidence sur la note et la décision du jury.
Article 8 : Restriction au concours
Les membres du comité d’organisation, ceux du jury ainsi que leurs familles respectives ne sont pas autorisés à participer à ce concours.
Article 9 : Composition du jury
Le jury est composé des membres choisis par le comité d’organisation. Il est totalement souverain et ses délibérations sont sans appel.
Article 10: La marraine
La marraine du concours de slam » Je pense les mots qui pansent les maux ” est Madame Flore Agnès NDA ZOA MEILTZ, promotrice de la Bibliolibrairie de la Cene Littéraire et présidente de La CENE littéraire.
Article 11 : Récompenses
À l’issue des délibérations, les groupes lauréats, au nombre de trois (3), classés par ordre de mérite, recevront les prix suivants :
Premier prix : 50.000FCFA + cadeau de ACOLITT (un accompagnement en communication digitale de deux mois (02 mois) autour de ses initiatives en littérature + un abonnement de six (06) mois à la bibliothèque La Maison des Savoirs – MDS Yaoundé + la première partie des spectacles OTS (On a Trop Slamé) du slameur Bern’ArtDo qui auront lieu au Cameroun + un panier surprise + une attestation
Deuxième prix : 15 000 FCFA + la première partie des spectacles OTS du slameur Bern’Artdo qui auront lieu au Cameroun + un panier surprise + une attestation
Troisième prix : La première partie des spectacles OTS du slameur Bern’Artdo qui auront lieu au Cameroun + une attestation
CALENDRIER DU CONCOURS
Article 12 : Calendrier
La date limite de réception des candidatures est fixée au 1er mai 2024 à 23h59.
La competition et la remise des prix se tiendront le 1er juin 2024, à la bibliolibrairie de La CENE Littéraire (Yaoundé, Cameroun).
DU RÈGLEMENT DU CONCOURS
Article 13: Modification du règlement
Les organisateurs se réservent le droit de modifier ledit règlement si les contraintes particulières les y obligent. Les difficultés pratiques ou d’interprétation du présent règlement sont tranchées par les organisateurs sur consultation du jury. Le fait de soumettre une candidature à ce concours implique l’acceptation sans réserve du présent règlement.
Pour plus d’informations :
voyoudesvoyelles@gmail.com / 680215660 (appels et Whatsapp).
Le comité d’organisation
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Eclosion
Ghosts Universe – Vers le livre de qualité
APEL Editions.
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Charles Blé Goude en visite au Cameroun depuis le 3 Avril on en parle
Arrivé au Cameroun depuis le 3 Avril dernier le président du COJEP CHARLES BLÉ GOUDE a été aperçu entrain de faire sensation de foule dès l’atterrissage de l’avion qui l’avait à bord en provenance de Côte d’Ivoire .
Sur invitation du premier secrétaire du PURS SERGE ESPOIR MATOMBA , selon l’agenda de cette visite d’amitié de nombreuses activités au programme en autre une visite de bonne fois à L’OUEST CAMEROUN dans le but de rencontrer son avocate et sa famille afin de lui signifiée son merci pour son implication dans le processus de sa libération à la haie cours de justice internationale.
Visite qui s’est déroulée dans une ambiance bon Africain. Emboîtant ainsi le pat à une conférence qui l’attendait dans la capitale politique YAOUNDÉ et à laquelle il y a pris part . Portant sur la dépénalisation internationale en Afrique durant celle-ci il est monté sur le pupitre comme intervenant pour dire de son expérience vécu ceci devant le parterre d’inviter et société civile camerounaise présents ,sans toutefois bien évidemment manqué de généraliser son propos au sujet de la thématique.
Avec certainement un carnet d’activité surchargé se déroulant progressivement, l’illustre invité et son homologue continue de battre le pavé dans un but que la presse Camerounaise ne pourrait pas encore classifié bien que les deux personnalités étant de grands leaders politiques nous avons l’aissance de préciser ici qu’il peut s’en être une visite d’amitié comme mentionné au vu du cadre de tous ceci . Quand t’on reviens un temps soit peu sur les présentes invitations faites et visite répondue favorable des personnalités comme Nathalie Yamb et Williams Seba que Mr Matomba avaient récemment conviés au Cameroun.
Ce Mercredi Matin à 3 jours de la fin de cette visite ils se sont rendus dans les locaux du groupe de médias Balafon sur invitation du directeur promoteur CYRILLE BOJIKO qui a lui-même même présenté l’émission sacré Matin à laquelle ils y sont intervenus.
De tous regards portés sur cette grande actualité Africaine traitée avec professionnalisme par le groupe de médias YOR YOU MÉDIA AFRICA dont le promoteur n’est nul autre que ce modeste acteur Politique Camerounais et panafricaine ; nous pouvons constater que nous sommes une Afrique sans frontières dotée d’une solidarité accrue entre Belle famille comme le dit souvent ses deux peuples bien que le Cameroun portant à dessein l’appellation le Continent .
À NOS LECTEURS RESTÉS SIMPLEMENT À L’ACTUALITÉ DES TROIS DERNIERS JOURS DE VISITE SUR NOS PLATEFORMES.
#HereIAM #DigitalTravelling
Durant la foire promote nous sommes allés vers Sarki Kilishi : Entreprise datant de près 40 ans et plus dans le but d’en savoir plus sur Elle
SARKI KILISHI est une entreprise qui est spécialiser dans la transformation agroalimentaire , en transformant la viande en KILISHI nous avons plusieurs variétés de KILISHI, celui fait à base de bœuf, poisson , poulet , champignons et même escargots pour ne citer que ceux-là.
SARKI SARL a été créée et reconnue en 2012 mais elle en est à sa 3ème génération avec une succession familiale de plus de 40 années. Son promoteur se nomme Mohaman Salia
Comme toute les autres entreprises nous étions à promote pour la foire PROMOTE pour plus de visibilité montrer au Camerounais que l’on peu aussi consommé du KILISHI bio , naturel et hygiénique fait à base maisons des mains d’expert . Il est important de mentionner que nos Kilishi bien que fait de manière industrielle ne contiennent pas de produits chimiques.
Comme variété de produits nous avons le Kilishi fais à base de viande,de bœuf, poulet, poisson et autres tel que mentionné plus haut et même de chèvre, chameaux
La particularité de tout ceci est que ils sont 100% naturel ne contenant pas de Cube à l’intérieur pour permettre à tous ce qui on des maladies ou allergies au produit chimique voir épice d’en consommer.
En général le Salon Promote nous l’avons trouvé très bien, et plein d’opportunités. Ce fut un honneur pour nous d’y assister car il n’est pas un petit événement pour le simple fait qu’il va au delà des frontières Camerounaise encore plus il est même international doté d’une grande visibilité.
Les besoins des visiteurs ont très bonnement été identifiés, en ce qui est du fait que les consommateurs sont habitués à manger KILISHI de Bœuf en découvrant les autres variétés citées plus haut cela est pour eux une surprise et ils sont tentés de faire l’expérience de goûter ceux-ci.
Basé à Garoua Précisément à Yagoa avec une possibilité effective et représentative de ventes et livraisons dans toutes les villes du Cameroun à Yaoundé nous sommes au carrefour Mec à la vitrine du made in Cameroon , à Douala nous sommes à Diedo à la boutique ampote. Nous sommes déjà également présent à l’international car nous exportons aussi .
SARKI SARL dit merci au chef de l’État d’avoir donner cette opportunité unique au Camerounais à travers ses ministères sectoriels de venir exposer durant cette foire. Je dirais simplement aux lecteurs de votre plateforme qui tomberont sur cette article de venir vers nous en nous contactant, de consommer le KILISHI bio et hygiénique.
Merci
Je vous en prie 😊, bienvenue sur notre plateforme.
#HereIAm #DigitalTravelling
Le Dr région se raconte auprès de notre rédaction après un brève échéance 2 ans plus tard sa rencontre lors de sa dernière dédicace d’ouvrage au Cameroun
Dr Régine Mfoumou est une camerounaise d’origine partie en France au début de son adolescence pour étudier. Très tôt convaincue que seules les études pouvaient l’amener loin, elle va persévérer jusqu’à l’obtention de son doctorat en littérature anglaise qui lui ouvrit les portes non seulement de l’emploi mais également d’une certaine considération pour une prise de parole en public jusqu’au point où on la considère désormais comme une personne ressource au point d’en faire d’elle une spécialiste de l’éducation (Education Specialist en Angleterre), fonction qu’elle occupe depuis 14 ans.
Femme multi-casquette, engagée et très optimiste, Dr Régine Mfoumou se lance dans la littérature des 2001, lorsqu’elle publie son premier ouvrage. Depuis, elle a mis sur le marché plusieurs ouvrages qui connaissent à la paix un succès pédagogique et un succès littéraire, son roman, Descente aux Enfers au Pays des Droits de l’Homme ayant été étudié et fait l’objet source de plusieurs doctorats à l’Université de Yaounde 1, mais aussi son ouvrage sur Equiano Olaudah fut intégré dans le système éducatif en France pour y être étudié par les étudiants du niveau secondaire. En 2011, Rhema Publications, elle crée une maison d’édition qui lui permettra de publier des ouvrages de différents auteurs à travers le monde pour enseigner et diffuser des messages visant à changer le monde d’aujourd’hui. Au delà de ses activités dans l’éducation, Dr Régine Mfoumou est une chrétienne engagée qui a fondé l’église Rhema Resource Centre International en Angleterre en 2012 et s’est également implantée à Haïti, précisément à Gonaives en 2016 et depuis 2019 au Cameroun, et en 2022 à Wolverhampton (Angleterre).
En février dernier, elle nous présentait au quartier Mozart sa dernière oeuvre War To Live – se battre pour vivre qui ici pour elle est la somme des combats qu’elle a vécue afin d’atteindre ce niveau de vie qu’elle vit aujourd’hui. Par ses écrits, elle a choisi d’exprimer ses nombreuses souffrances, mais surtout la foi en Dieu qui lui a permis de devenir aujourd’hui une femme pleine de vie, joyeuse et épanouie. Et généreusement, elle essaie de véhiculer un message d’espoir a tous ceux qui traversent des moments de difficultés et de désespoir. La leçon qu’elle voudrait transmettre ici est qu’il existe toujours un moyen de sortir des problèmes et des difficultés autant qu’il y a toujours un moyen de les empêcher ou de reprendre le contrôle de nos vies.
#HereIAm
L’Entreprise Agroalimentaire MacFoods était à Promote nous sommes aller Vers Son Promoteur
C’est quoi MacFoods ? Pourquoi la création d’une telle entreprise ? Elle fait dans Quoi ? Dites-nous en plus sur son promoteur !
Minkolou Augustin Caleb ingénieur des industries agroalimentaires de formation
Nous avons créés la structure MacFoods en 2020 avec pour objectif la production agroalimentaire nous transformons les fleurs d’hibiscus en vin rouge blanc , nous faisons également dans les jus naturels avec pour la ville de Douala.
Promote 2024 c’est quoi le but de la présence de votre entreprise à ce grand carrefour Entrepreneurial ?
À Promote 2024 nous y étions dans le but de gagner en visibilité et dénicher des partenariats commerciaux et développer de nouveaux échanges dans le sens où nous sommes une nouvelle entreprise et avions également besoin de collaborer avec les anciennes du domaine, bien évidemment faire des ventes.
Quels sont les produits que l’on retrouve chez vous et c’est quoi leurs particularités ?
La particularité des vins que l’on retrouve chez nous et qui sont absolument naturels que se soit les vins blancs les vins faits à base d’hibiscus, les vins à base d’ananas ajouter au piment et jus naturels et même du Kilishi. Tous ceux-ci sont des produits issuent de notre Biotope ou encore des produits Bio de chez nous.
Quelle perspective après la foire promote? Comment trouvez-vous le salon en général ?
En terme de perspective après Promote il sera question de faire le suivit de tous les contacts que nous avons recensés ici afin de développer de nouveaux partenariats économiques ,grandir notre carnet d’adresse .
Jusqu’ici avez-vous identifiez les besoins des visiteurs qui arrivent à votre stand ?
Durant la foire Promote les besoins de nos visiteurs ont tres belle et bien été identifiés en ce qu’ils ont été pour la plus part dotés d’une curiosité du fait de découvrir qu’il existe un vin fais à base d’ananas car étaient beaucoup plus habitués aux vins importés ne savaient pas que l’on pourrait faire du Vin à base de la matière première locale . Tout ceci suscite en eux cet air curieux et bien évidemment l’envie de découvrir à quoi ça ressemble, goûter avant d’acheter ,faire l’expérience et cela nous permet de comprendre que le produit est apprécié à nous de mettre toute les batteries en place pour une plus grande Production.
Quel message adressez-vous à l’État connaissant que le Chef de l’État est Parrains de l’événement et aux organisateurs ?
Comme message a adresser a l’État je dirais que l’État n’est pas le principal employeur nous les entrepreneurs sont également là pour l’accompagner à la création des richesses,des emplois , à valoriser l’industrie locale et a faire valoir le made in Cameroon .
Nous remercions l’État Camerounais notamment le MINEPAT qui nous a permis d’assister à ce grand carrefour Entrepreneurial, le Ministère des PME qui permet d’être à niveau.
Nous demandons à l’État de multiplier de tel opportunités afin que nous puissions présenter nos produits, tissés des partenariats durables et permettre à l’économie Camerounaise de grandir.
Merci pour cet interview
Votre entreprise est la bienvenue sur notre plateforme et à très bientôt.
#HereIAm #DigitalTravelling
Les observateurs Africains à la présidentielle russe rentreront satisfait de ce qu’ils on vu
La présidentielle se déroule en Russie en présence de plus de 336.000 observateurs, dont des ressortissants de dizaines de pays africains.
« Les observateurs africains, qui inspectent des bureaux de vote à travers toute la Russie, rentreront véritablement satisfaits de ce qu’ils ont vu », a déclaré ce vendredi 15 mars à Sputnik Afrique Serge Espoir Matomba, premier secrétaire du Peuple uni pour la rénovation sociale (PURS) du Cameroun, en visite à Moscou.
Dans une interview à Sputnik Afrique, il a évoqué la présence d’observateurs de plus de 50 pays africains à la présidentielle russe.
À une époque où « le monde se veut un monde multipolaire, nous avons l’obligation de savoir ce qu’il se passe, sans toutefois attendre qu’on nous dise ce qu’il se passe. Il y a cette désinformation croissante, qui est aujourd’hui utilisée comme levier de manipulation », a indiqué l’homme politique.
Il a expliqué s’être rendu à Moscou pour constater de ses propres yeux « comment se déroule l’élection, l’engouement autour des élections, voir comment le processus-même est enclenché ».
« L’image que l’Afrique a souvent a eu dans le passé de la Russie est en train de changer à une vitesse exponentielle. Les Africains sont en train de comprendre désormais que la Russie n’a pas été ce pays qui leur a été présenté. Et c’est très bien », a conclu l’homme politique.
Présidentielle russe
L’élection présidentielle russe se déroule du 15 au 17 mars.
Des bureaux de vote sont ouverts sur l’ensemble du territoire russe, y compris dans les républiques populaires de Donetsk et de Lougansk et les régions de Zaporojié et de Kherson qui ont intégré la Fédération de Russie en octobre 2022.
Les électeurs peuvent également donner leur voix à distance, au moyen d’un vote électronique.
Source :Sputnik Afrique
#HereIAm
Mélanie Edissiki danseuse professionnelle résident le Canada s’exprime
1. Qui est Mélanie Edissiki ?
Mélanie Edissiki est une jeune artiste femme qui utilise l’art pour s’exprimer et valoriser sa culture et ses croyances, notamment à travers la danse/le chant et la poésie. Elle vit au Canada et est d’origine camerounaise, plus précisément yabassienne et yambassa.
2. Comment as-tu découvert la danse et pourquoi ce choix ?
J’ai découvert la danse grâce à mes frères, lors de mini-spectacles organisés dans la cour de notre maison au Cameroun. Malgré leurs talents, je voulais aussi être respectée, alors j’ai décidé de m’y investir sérieusement après multiples moqueries de leur part.
3. Parle-nous de tes premiers pas dans cet art.
Mes débuts dans la danse étaient effrayants, étant très timide. Je pratiquais dans ma chambre devant un miroir, mais performer devant un public était terrifiant pour moi.
4. Te souviens-tu de ton premier spectacle de danse ? Raconte !
Mon premier spectacle était au lycée, à l’âge de 9 ans. J’ai dansé sur une chanson de Lady Ponce et malgré ma timidité, la prestation a été bien accueillie, marquée par mon sourire constant.
5. Parle-nous de ta dernière compétition et du prix qui t’a permis de signer le livre d’or de la ville de Montréal.
J’ai remporté le prix Mwali dans la catégorie culture et arts, lors d’un gala mettant en avant des femmes remarquables de la communauté québécoise. Ce prix m’a permis de signer le livre d’or de la ville de Montréal. Tout un honneur pour moi qui marque encore ses débuts dans le monde artistique.
6. Que représentent pour toi les rythmes et danses traditionnelles africains maintenant que tu résides hors de l’Afrique ?
En réalité, c’est tout un autre monde. Mes bases sont en danses moderne et contemporaine, mais j’ai décidé d’apprendre les styles de chez nous. Ayant quitté le Cameroun très jeune à l’âge de 10 ans, j’étais très déconnectée de mes racines en vivant en Occident. C’est ma passion pour la danse et le désir d’apprendre qui m’ont poussée à m’éduquer davantage et à pratiquer différents styles de danses africains, en particulier camerounais. J’ai découvert un univers riche en notions, une culture diversifiée et des valeurs ancrées dans la danse. Pour moi, c’est bien plus que des pas, c’est tout un mode de vie que je partage avec d’autres. C’est une fierté, voire une grâce, de pouvoir explorer ces styles si riches et complexes.
7. As-tu des projets à court et long terme ?
Oui, j’ai une association au Cameroun qui promeut l’inclusion sociale des jeunes handicapés grâce à l’art. Nous organisons une journée culturelle en mai, remplie d’apprentissage, de divertissement et de partage. Cette journée sera constituée d’une conférence matinale et une soirée culturelle pour clôturer le tout. Toutes les informations seront divulguées sur nos réseaux sociaux : @handanse.
8. Quel message passerais-tu aux jeunes Camerounais et Africains qui aspirent à immigrer au Canada ?
Je leur conseille d’être conscients des réalités de la vie au Canada et de rester concentrés sur leurs objectifs, malgré les défis. Je comprends parfaitement les conditions de vie précaires au pays qui peuvent pousser plusieurs à sortir. Restez tout simplement vigilants et pieux.
9. C’est la journée internationale de la femme, que conseillerais-tu aux jeunes femmes qui veulent pratiquer la danse comme art ?
Soyez fortes, passionnées et authentiques. N’écoutez pas les critiques et concentrez-vous sur votre passion avec discipline et détermination.Dans ce domaine, il est facile de se perdre et de s’oublier. Il est important d’avoir des convictions et de comprendre que l’art va au-delà de soi, c’est presque divin. Avant de vous lancer, réfléchissez bien. Et surtout, ne prêtez pas attention aux ragots. On m’a souvent découragé en me disant que je n’irais pas loin dans mes études, que je ne ferais que danser, mais j’ai obtenu ma licence dans l’une des meilleures universités au Canada et je termine actuellement une maîtrise. Tout repose sur la discipline, la concentration et surtout la passion. ❤️
10. Mélanie Edissiki est-elle un cœur à prendre ?
Ayiiiiiiiiiii!
11. As-tu des hobbies ? Un plat préféré ?
En dehors de la danse et du chant, j’adore cuisiner. Mes plats préférés sont le Ndolè, l’okok sucré et l’Eru, et/ou le poisson braisé.
#HereIAm
La Miss Yogam sensibilise la jeunesse de Bayangam
Bayangam localité des nobles de l’Ouest est la ville qui nous a reçu le 12 Août dernier pour 3 jours mémorables autour de plusieurs activités artisanales à côté d’une conférence débat constitue d’un riche Panel d’acteurs du numérique de cette partie du Pays.
Il était question durant celle-ci de sensibiliser les jeunes et les plus jeunes sur l’usage responsable des réseaux sociaux. Des hommes et femmes de médias et de culture ont répondu présent autour de la table pour cette exercice notamment Sidonie Ebanga qui n’a pas utiliser 4 chemin pour signifier sa désolation face à l’usage irresponsable des réseaux sociaux dont est victime la jeune fille à travers application What’sapp tel est le combat qu’elle mène avec sa jeune initiative au Au Cœur de What’sapp qui a tenue sa première sensibilisation le 1er Juillet dernier.
Comme annoncé ce jour un prolongement allait être fait à Bayagam ceci par l’entremise de Miss Yogam Wouri 2021 Chathouing Sidouane qui n’a ménage aucun effort sinon réunir autour d’elle d’illustres acteurs du social et du digital à l’instar de Mr Stiffler, Rihanno Mars promoteur respectif des initiatives Yaoundé Blog et Dschang Blog plateformes non seulement de sensibilisation et vulgarisation du Blogging mais également de lutte contre les discours haineux.
Franck Loïc rédacteur chez BINC Bayangam Infos-Net chez qui nous avons fait un live Facebook dans le But de meubler la communication de ces jours spéciaux de sensibilisation qui se sont clôturés par la visite d’un orphelinat avec remise du paquet minimum pour non seulement les enfants de la maison d’accueil mais également ceux présents à la conférence. La veille de la journée de conférence la Miss Yogam a été reçu par le Roi Bayangam pour recevoir l’onction d’action parce que garant des lieux.
Vivement vers un usage plus responsable des réseaux sociaux.
#HereIAm
For You Africa fait-il Peur aux médias MAIN STREAM ?
ACCUSE D’ETRE UN INSTRUMENT DE PROPAGANDE RUSSE : FOR YOU AFRICA FAIT-IL PEUR AUX MEDIAS MAIN STREAM ?FOR YOU AFRICA, CIBLE ET SCRUTE PAR LES OCCIDENTAUX ?Le média se fait entendre, pour la gloire d’une Afrique Unie, une Afrique riche ; le média, qui n’a pas froid aux yeux, se mêle aux peuples à qui la mort ne fait pas plus peur que l’éternité dans l’esclavage, des peuples qui ont en horreur la condescendance française, la suprématie américaine ou encore la traitrise des « collabos » internes.
Ces mêmes « collabos » qui se glissent dans la sphère panafricaine, ont pour outils de déconstruction et de distraction des médias aux colorations coloniales comme Jeune Afrique, TV5 Monde, Rfi ou encore France 24.Il y a quelques jours de cela, For You Média Africa, recevait dans ses locaux et sur ses plateaux, deux figures bien connues de la scène panafricaine Kemi Seba et Nathalie Yamb taxés d’être des agents russes, et était au cœur du Sommet Russie-Afrique en juillet 2023, des évènements qui ne lient peut-être pas forcément le média à la Russie. For You Africa est un groupe de média qui possède une télévision et une radio panafricaines. Les deux vont très souvent aux antipodes des discours propagandistes antirusses, anti-panafricanistes des médias main Stream occidentaux, en recevant sur leurs plateaux des analystes avisés à la lumière de leurs propos, conscients des réels enjeux de la guerre informationnelle créée par les pays de l’Ouest dans laquelle parfois des fake News, des manipulations des faits sont observés. Dans cette guerre informationnelle, For You Africa semble devenir un ennemi, une cible pour les médias étrangers et des dirigeants encore sous le joug du néo-colonialisme.
Alors qu’il y a encore 5 ans, les médias susmentionnés faisaient la pluie et le beau temps, dans certains pays comme le Mali, le Burkina Faso, le Sénégal ou encore le Niger, les nouveaux dirigeants ont décidé de la suspensions de ceux-ci sur leurs territoires comme s’ils avaient compris que la Communication n’est pas une arme à négliger et mieux, ont exhorté les chaines et journaux locaux à la communication patriotique, dans le but de conscientiser les masses et mettre le plein phare sur les réalisations des gouvernants choisis par le peuple. Evidemment, le champ d’aliénation instauré par ces médias d’ailleurs a été affecté. Dans un élan panafricaniste, le média camerounais a décidé de se déployer sur le terrain pour rendre aux populations en quête de vérité et de repère l’information, la vraie. For you Africa s’est déployé au Mali durant le référendum constitutionnel pour constater comment le peuple est allé massivement s’exprimer aux urnes.
C’était le cas également lors du référendum Constitutionnel en RCA, alors même que le Président Touadera était accusé de vouloir s’éterniser au pouvoir contre la volonté du peuple et ses collaborateurs, par des médias étrangers ; For You Média a rapporté que le projet d’écrire une nouvelle constitution au Centrafrique découlait d’un appel du peuple désireux de voir ses aspirations respectées dans les textes qui identifient son pays. Dialogue National au Sénégal, For You Média rapporte avoir constaté que les médias d’ailleurs ont un récit complètement différent de la réalité sur le terrain. Sommet de l’Union Africaine ou de la CEDEAO, Sommet Etats-Unis-Afrique, le groupe de média panafricain s’y est rendu dans le but de « changer le son de cloche » Cette présence répétée sur le terrain, les thématiques, ou encore les discours et réalisations des présidents qualifiés de « Putschistes dictateurs » diffusés sur la chaine, sans omettre les discours du Président Russe qui malheureusement dénoncent très souvent les projets néocoloniaux et capitalistes retransmis grâce à son partenaire RT France semblent faire trembler les médias occidentaux. Pourquoi For You Africa ferait-il peur ? Le constructivisme de ces médias étrangers tend à se détruire et donner place à l’acceptation de soi, ainsi qu’à la réappropriation de l’histoire du Continent, à la volonté des peuples.
La guerre informationnelle a ceci de particulier qu’elle fait de tout ce qui est répété sur le long terme, même si c’est par une seule entité, une vérité, une parole d’évangile, un fait indéniable. Alors, il semblerait que les requins médiatiques ne veulent point de concurrence susceptibles de détourner leur public pour des causes panafricaines.
Yango Cameroun n’a pas finie de faire sa toilette
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Voici les règles :
1) Recherchez la chanson Yango Pro par @tim_kayzer (Suis les étapes dans la vidéo, click sur le lien https://www.instagram.com/reels/audio/736638031256844?igsh=MWJsOWxjdTMzZXAzYQ== ou retrouve le lien du son dans notre bio Instagram )
2) Réalisez une vidéo sur cette musique
3) Postez-la avec #yangoprochallenge2023 et #yangopartners (assurez-vous de suivre @yango.cameroun pour nous identifier sur vos posts Insta, TikTok ou Facebook)
Astuce : Le tuto est joint
⭐️Plus votre vidéo est populaire, plus vous avez de chance d’être l’un de nos 3 grands gagnants. Les gagnants seront annoncés le 30 janvier. Restez connectés !
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💃🏾🕺🏾Take part in the Yango Pro challenge and win the Carrefour certificates up to 60000 FCFA.
Here are the rules:
1) Find the Yango Pro song by @tim_kayzer (follow the tips in video, click the link https://www.instagram.com/reels/audio/736638031256844?igsh=MWJsOWxjdTMzZXAzYQ== or find it in the the Instagram profile header)
2) Make a video with the song
3) Post it with #yangoprochallenge2023 and #yangopartners (make sure you follow @yango.cameroun to tag it in your Instagram, TikTok or Facebook post as well)
Tip: tutorial is attached
⭐️ The more popular your video is, the more chances you get to become one of the three winners! The list of winners will be announced on January 30th, so stay tuned!
Le Dakar Music Expo déroule son programme d’enroulement
Nous sommes ravis de vous dévoiler la première partie de la programmation des conférences et ateliers. 🤗
Pour les professionnels, artistes, managers, agents d’artistes profitez de cette occasion annuelle unique autour du thème : “L’artiste à l’ère du digital” pour rencontrer des experts renommés et des professionnels du secteur, explorer des opportunités de collaboration et de partenariat, renforcer vos capacités et découvrir les dernières technologies et innovations dans le secteur de la musique. 🎶✨
Si vous souhaitez vous inscrire aux panels et ateliers, rendez vous sur notre site http://www.dakarmusicexpo.com ou sur le lien shorturl.at/hjnqF. 🔗
We are delighted to unveil the first part of the program of conferences and workshops.🤗
For professionals, artists, managers, artists’ agents, take advantage of this unique annual opportunity around the theme: « The artist in the digital age » to meet renowned experts and industry professionals, explore collaboration and partnership opportunities, build your capacities and discover the latest technologies and innovations in the music industry. 🎶✨
To register for the panels and workshops, please visit http://www.dakarmusicexpo.com or shorturl.at/hjnqF.🔗#festival2024#DMX#Dakar2024#conference#atelier
Line kamite s’exprime
Activiste culturelle, militante féministe, chroniqueuse littéraire, enseignante, poète et romancière, Lophline Yetgni Yambou – Line Kamite – est née le 03 décembre 1996 à Fotouni, une localité de Bandja dans le département du Haut-Nkam, région de l’ouest Cameroun.
Après des études secondaires sanctionnées par un baccalauréat scientifique en 2015 au lycée Nylon de Ndogpassi, un quartier populaire de la ville de Douala, elle rejoint la Faculté des Sciences de l’Université de Douala où elle obtient une licence en physique-chimie. Et depuis quelques semaines, elle est titulaire d’un Master II en chimie des matériaux brillamment obtenu dans la même Université.
Line Kamite découvre – comme beaucoup de jeunes – la littérature à travers les bandes dessinées, les livres jeunesse et les œuvres inscrites au programme scolaire. Et si des dispositions naturelles l’orientent plutôt vers les filières scientifiques dans ses études, elle n’en demeure pas moins passionnée par la poésie en particulier et la littérature en général.
Cette passion qui la tient dès la tendre enfance se matérialisera à l’adolescence par des bribes posées sur des feuilles volantes, et aboutira en octobre 2021, après quelques textes lâchés çà et là sur la toile, à un roman de 160 pages paru aux Editions Proximité : Ma passion perdue.
Il s’agit dans ce livre de Binta, une adolescente amoureuse de lettres et de philosophie dont le projet est d’y consacrer ses études, et plus tard, d’en faire son métier. Cependant, ses parents nourrissent d’autres projets pour la jeune fille qui, lasse d’essayer de les convaincre, va céder à leur volonté : l’inscrire en série scientifique pour, plus tard, exercer en médecine.
Ce texte est le récit d’une traversée de désert psychologique, émotive et même académique de la jeune Binta. En même temps, il est un plaidoyer – même si on ne saurait y voir une autobiographie – en faveur de la prise en compte des rêves d’une jeunesse qui veut s’accomplir par elle-même. Par la même occasion, Ma passion perdue pose le problème de ces parents qui espèrent s’accomplir à travers leurs enfants, et qui ne se rendent pas souvent compte du désespoir dans lequel ils les plongent.
Line Kamite – dont le mantra est « L’écriture guérit l’âme sans faire de bruit » – est de cette jeunesse déterminée, passionnée et désireuse de s’instruire. Cette jeunesse africaine consciente que les batailles qui l’attendent seront gagnées par les plus aguerris.
Aubin Eyike
Suivez l’auteure par ce lien :
https://www.facebook.com/Linekamiteofficiel/
📌 Écrivez vos textes par la voix, Acolitt les met sur papier. Besoin de nos services de #transcription, nous contacter : +237690195126 / acolitterature@gmail.com
#line_kamite #mapassionperdue #communication_littéraire #livres #acolitt #communication
#HereIAm
Exposition : Water No Get Enemy , CIPCA
Le CIPCA est heureux d’annoncer l’ouverture de l’exposition collective « WATER NO GET ENEMY »
Un projet multimédia de DOUAL’ART qui met à l’honneur six artistes de la nouvelle génération de talents issus du Nord Ouest et du Sud Ouest Cameroun. Venez découvrir à partir du 19 Janvier 2024 les travaux de:
Godmark Fanyuy
Lulu Manga
Emmanuel Nasako
Marcellas Njonji
Stella Tchuisse
Bright Toh
Le vernissage vendredi 19 janvier sera précédé d’un échange à 17h00 avec l’équipe curatoriale et avec les artistes.
Le CIPCA est situé derrière le Centre des Impôts du Centre sis à Omnisports, Yaoundé.
Ouvert au public du lundi au samedi de 10h à 18h.
Entrée libre et gratuite.
Le Yaoundé Music Expo déroule les partenaires
LE YAOUNDÉ MUSIC EXPO (YAMEX) 2024 S’ASSOCIE AU CONSEIL CAMEROUNAIS DE LA MUSIQUE (CCM)
Le Yaounde Music Expo (YAMEX), le rendez-vous annuel de célébration de musique actuelle du monde à Yaoundé, est heureux d’annoncer son partenariat institutionnel avec le Conseil camerounais de la musique (CCM).
LE CCM
Le Conseil Camerounais de la musique (CCM) est une association à but non lucratif et apolitique, dont le siège social est à Douala. Son objectif est de « contribuer au développement et au renforcement des relations entre toutes les parties prenantes du secteur musical au Cameroun ».
LE PARTENARIAT
Ce partenariat permettra au YAMEX et au CCM de travailler ensemble pour promouvoir la musique camerounaise à l’échelle nationale et internationale.
LES OBJECTIFS DU PARTENARIAT
Les objectifs spécifiques du partenariat sont les suivants :
☆ Mettre en lumière la richesse et la diversité de la musique camerounaise
☆ Promouvoir le développement du secteur musical camerounais
☆ Créer des opportunités pour les artistes camerounais
LA 4ÈME ÉDITION DU YAMEX
La 4e édition du YAMEX se déroulera du 20 au 23 mars 2024 à Yaoundé. L’événement accueillera des artistes de tous horizons, de tous genres musicaux et de tous niveaux de carrière.
Le partenariat entre le YAMEX et le CCM est une étape importante pour le développement de la musique camerounaise. Il permettra de renforcer la visibilité et la reconnaissance de la musique camerounaise à l’échelle internationale.
APPEL À ACTION
Les artistes camerounais intéressés à participer au YAMEX 2024 sont invités à déposer leur candidature en ligne sur le site web du YAMEX avant le 16 Février 2024.
PS : Le lien de l’appel à candidatures disponible en commentaire 👇🏽👇🏽👇🏽👇🏽👇🏽
#YAMEX2024 #YaoundeMusicExpo #YAMEX
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Le Yaoundé Music Expo lance les hostilités
LA MUSIQUE AU CAMEROUN : UN PATRIMOINE VIVANT À DÉVELOPPER ET À CÉLÉBRER
La musique camerounaise est un trésor inestimable. Elle est le reflet de la diversité culturelle et linguistique du pays, et elle est riche d’une histoire et d’une tradition pluriséculaires.
Le Cameroun est également un Havre de paix ou fusionnent et s’épanouissent aisément les musiques et autres expressions artistiques venant de la planète entière.
C’est pourquoi Yaounde Music Expo (YAMEX) a choisi de placer la musique camerounaise au cœur de sa quatrième édition, qui se tiendra du 20 au 23 mars 2024 à Yaoundé.
L’événement proposera une multitude d’activités dédiées à la musique camerounaise, notamment :
♧- Des conférences magistrales
♧- Des keynotes
♧- Des tables rondes
♧- Des workshops
♧- Des rencontres B2B
♧- Des showcases
♧- Des concerts
Le YAMEX 2024 sera une occasion unique pour les professionnels de la musique et les amateurs de musique de se rencontrer, de découvrir de nouveaux talents et de faire avancer la musique camerounaise.
C’est un événement qui mérite d’être soutenu, car il contribuera à la préservation et au rayonnement de ce patrimoine vivant.
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Installation du nouveau président des Blogueurs de l’association des blogueurs du Cameroun.
Partie pour être officiellement le nouveau président des Blogueurs Thierry Didier Kuicheu dit le TDK est monté au créneau pour présenter non seulement l’état d’avancement des travaux aux seins de l’association mais également son mandat qui durera deux ans .
Une passation à la fois participative et surtout productive. L’ancien président c’est prêté au jeux de passation en remettant les attributs de gestion de la dite association au nouveau président entre autres : mots de passe des comptes , lettre et documents administratifs de l’association, une enveloppe de fonds prévu pour la gestion de l’association. Les mots de circonstances ont poursuivi leurs cours et s’en suivit la science des divers et du goûter . Tout c’est bien terminé tel que cela à commencer.
#HereIAm
Appel à candidature le Slam un univers d’échange
📍 Information qui nous vient du Togo 🇹🇬 👇
Le championnat national du slam patriotique (CNSP), est une compétition de Slam rassemblant de jeunes talents du Togo autours d’un seul thème. Un évènement organisé par l’association culturelle pour l’éducation et le social en Afrique(ACES-AFRIQUE).
De ce fait, pour cette 5ème éditions, nous sollicitons de bénévoles prêts à contribuer. Des volontaires passionnés de la culture, prêts à mettre la main à la pâte.
Donc de la communication à la coordination d’évènements, de la création de contenu au soutien technique, peu importe votre champ d’expertise ou d’intérêt, votre aide est bienvenue.
Acceptez le défi et rejoignez-nous maintenant via le formulaire d’inscription
Lien d’inscription :
https://bit.ly/3vqwTOK
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Yaoundé Blog 
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